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2 novembre 2009 1 02 /11 /novembre /2009 17:00
Un voyage extraordinaire dans la physique quantique.
Entre science et rêve : plus de limite !

Que sait-on vraiment de la réalité !? - Dans le terrier du lapin - nous-les-dieux.org - Watch more Videos at Vodpod.

Commentaire d'un inconnu :

"LA MATIÈRE : L’AUTRE NOM DE L’ILLUSION !

UN FAIT SCIENTIFIQUE : LE MONDE EXTÉRIEUR SE FORME DANS LE CERVEAU.

Nous sommes conscients que les différentes caractéristiques de ce monde sont perçues grâce à nos organes sensoriels. Les informations collectées par ces organes sont converties en signaux électriques, et chaque partie de notre cerveau les analyse et les traite. Après que ce processus d’interprétation ait eu lieu à l’intérieur de notre cerveau, nous allons par exemple lire un livre, goûter une fraise, sentir une fleur, toucher la texture d’un tissu en soie ou entendre le bruit des feuilles malmenées par le vent.

On nous a appris que les vêtements que nous touchons sont à l’extérieur de notre corps, comme le livre que nous tenons à 30 centimètres de nous, ou le parfum des arbres pourtant loin de nous ou encore le bruit des feuilles des arbres qui s’agitent dans le lointain. Cependant, tout ceci n’est que dans notre imagination. Tous ces événements se forment dans notre cerveau.

A ce stade, nous faisons face à un autre fait étonnant ; il n’existe aucun son, aucune couleur ou image dans notre cerveau. Tout ce que l’on peut trouver dans notre cerveau, ce sont des signaux électriques. Ceci n’est pas une spéculation philosophique. C’est tout simplement la description scientifique de nos fonctions sensorielles. Dans son livre Atlas du cerveau – Neurosciences du comportement : les nouveaux savoirs et leurs conséquences, Rita Carter, journaliste scientifique, explique la manière dont nous percevons le monde :

« Commençons par le commencement : nos organes sensoriels –yeux, oreilles, nez, langue et récepteurs somato-sensoriels de l’épiderme. Chacun est spécialement adapté à son propre type de stimulus : molécules, ondes ou vibrations. L’explication que nous cherchons n’est pas ici, car malgré leur fantastique diversité, ces organes accomplissent tous le même travail : ils traduisent le type de stimulus qu’ils reçoivent en impulsions électriques. Et toutes les impulsions se ressemblent. Il n’est nullement question de la couleur rouge ou des premières notes de la Cinquième Symphonie de Beethoven – mais d’énergie électrique. En fait, les organes des sens ne discriminent pas les influx sensoriels ; au contraire, ils les rendent homogènes.»

« Tous les stimuli sensoriels pénètrent dans le cerveau sous forme d’impulsions électriques qui, comme la chute en cascade d’une rangée de dominos, se transmettent de neurone à neurone le long d’un circuit particulier. Rien de plus. Au bout du trajet, aucun transformateur ne convertit à nouveau cette activité électrique en ondes ou en molécules. Ces courants électriques aboutiront à la vision ou à l’odorat selon le type des neurones stimulés.»

La physiologie de la vue est en réalité un processus extraordinaire. Immanquablement, la lumière est convertie en signaux électriques, lesquels révèlent par la suite un monde lumineux, tout en couleurs et en trois dimensions. R. L. Gregory, dans son livre Eye and Brain : The Psychology of Seeing reconnaît ce fait important, et explique ainsi cette incroyable structure :

« Nous recevons de minuscules images déformées et inversées dans les yeux, et nous voyons des objets solides distincts dans notre environnement. A partir de simulations rétiniennes, nous percevons le monde des objets, et ceci est ni plus ni moins un miracle.»

Toutes ces constatations nous mènent à la même conclusion. Au cours de notre vie, nous avons toujours supposé que le monde existait en dehors de nous. Cependant, le monde est à l’intérieur de nous.

Ce qui est démontré ici, c’est que chaque personne durant sa vie est spectateur de tout ce qui lui arrive à l’intérieur de son cerveau et à aucun moment ne peut être en contact direct avec les différents objets matériels qui soi-disant créent son expérience. Les images que nous voyons sont des copies dans notre cerveau des objets dont nous supposons qu’ils existent à l’extérieur de nous. Nous ne pouvons jamais savoir dans quelle mesure ces copies ressemblent aux originaux, ou si les originaux existent eux-mêmes.

Bien que matérialiste, médecin et journaliste allemand Hoimar Von Ditfurth reconnaît ce fait scientifiquement :

« Peu importe la manière d’argumenter, le résultat ne change pas. Ce qui se tient devant nous dans toute sa dimension et ce que nos yeux voient n’est pas le « monde» . Ce n’est qu’une image du monde, une ressemblance, une projection dont la combinaison avec l’original est sujette à discussion.»

EN DEHORS DE NOTRE CERVEAU, LA LUMIÈRE, LES SONS, LES COULEURS N’EXISTENT PAS ; SEULE L’ÉNERGIE EXISTE.

Bien qu’il ait été prouvé scientifiquement que nos sens se forment à l’intérieur de notre cerveau, nombreux sont ceux qui prétendent que les originaux des images que nous voyons existent en dehors de notre cerveau. Ils ne seront cependant jamais capables de prouver leurs dires. Malgré ce qu’ils avancent, la lumière, les sons et les couleurs n’existent pas en dehors de notre esprit. La lumière existe uniquement à l’extérieur sous forme d’ondes d’énergie et de paquets d’énergie. Nous ne devenons conscients de la lumière que lorsqu’elle atteint la rétine. De même pour le son. Les sonorités sont des ondes d’énergie. Le son se forme quand ces ondes d’énergie atteignent nos oreilles et sont ensuite transmises à notre cerveau. Il n’y a pas de couleurs non plus à l’extérieur. Lorsque nous disons cela, certains s’imaginent probablement d’une vision en noir, blanc et gris, alors que même le noir, le blanc et le gris représentent des couleurs. A l’extérieur de notre cerveau, ces couleurs n’existent pas non plus. Des ondes d’énergie de puissance et de force différentes existent. Ces ondes d’énergie sont ensuite converties en couleurs à travers les cellules dans l’œil et le cerveau.

La physique quantique est une autre branche de la science qui montre que les propos en faveur de l’existence de la matière ne sont pas justifiés. La découverte la plus importante révélée par la physique quantique et qui laisse les matérialistes sans voix est le fait que la matière est vide à 99,9999999%. Au cours de ses études en physique et psychologie, Peter Russell fait souvent des commentaires sur la conscience humaine. Dans un essai adapté de son livre De la science à Allah (From Science to God), Russell explique la vérité de cette manière :

« Prenez, par exemple, nos idées à propos de la nature de la matière. Pendant deux mille ans, on a cru que les atomes étaient des balles minuscules de matière solide – un modèle clairement tiré de l’expérience quotidienne. Ensuite, à mesure que les physiciens découvraient que les atomes étaient composés de particules subatomiques plus élémentaires (électrons, protons, neutrons etc.), le modèle bascula vers un noyau central entouré d’électrons en orbite – encore une fois un modèle basé sur l’expérience.»

Un atome peut être petit, à peine un milliardième de pouce de diamètre, mais les particules subatomiques sont cent mille fois plus petites encore. Imaginez le noyau d’un atome grossi à la taille d’un grain de riz. Le même atome aurait la taille d’un stade de foot et les électrons seraient d’autres grains de riz volant dans les tribunes. Comme l’avait indiqué le physicien anglais du début du vingtième siècle Si Arthur Eddington :

« La matière est principalement un espace vide fantomatique»

–99,9999999% d’espace vide pour être un peu plus précis.

Avec l’avènement de la théorie quantique, il fut découvert que même ces infimes particules subatomiques étaient elles-mêmes loin d’être solides. En fait, elles ne sont pas vraiment de la matière – ou tout du moins pas de la matière telle que nous la connaissons. Elles ne peuvent pas être épinglées et mesurées précisément. Elles sont plus comme des nuages flous d’existence potentielle, sans localisation définie. La plupart du temps elles semblent plus être des ondes que des particules (Peter Russell, Le mystère de la conscience et la signification de la lumière (The mystery of consciousness and the meaning of light), 12 octobre 2000.

Tandis que certains continuent à prétendre que ce qu’ils voient dans leur cerveau existe à l’extérieur, la science nous montre qu’au-delà des confins du cerveau, il n’existe que des ondes d’énergie et des paquets d’énergie. Au-delà de notre cerveau, il n’y a ni lumière, ni son, ni couleurs. En outre, les atomes et les particules subatomiques formant un matériau sont en réalité des groupes lâches d’énergie. Bien que certains croient en l’existence de la matière, la matière est constituée d’espace.

En conclusion, nous ne sommes pas à l’» intérieur» . Tout est à l’intérieur de nous."
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